Voilà c'est fini...
"La cabane est tombé sur le chien" comme dirait l'autre... Le Grand Stade de Nice a reçu le coup de grâce, le coup final. Le projet Cari est tombé sur un adversaire plus fort : la justice administrative. La décision annulant toute l'opération a été rendue hier après midi (voir articles précédents). Sans grande surprise.
Et maintenant ? L'aménageur a déjà dit qu'il ne ferait pas appel. La Ville non plus. Tout le monde veut passer à autre chose et vite. Mais alors, comment rebondir ?
Jacques Peyrat a encore trois options :
- Racheter au groupement Cari-Spada les études, les plans et se contenter de faire un appel d'offres afin de trouver un simple constructeur. C'est la solution la plus compliquée.
- Tout recommencer à zéro : relancer donc une nouvelle procédure de délégation de service public. C'est la solution la plus longue.
- Concéder un bail de 75 ans à un opérateur privé qui assumerait la construction du stade. C'est la plus simple.